Mickey
Posté : lun. 4 mai 2009 10:22
A l’époque l’embrayage n’existait pas encore, du moins l’automatique qu’on trouve de nos jours sur les mobs. C’est après quelques balancements vigoureux des mollets de ma mère que le moteur de la Motoconfort prenait vie….et j’étais derrière, cramponné au siège enfant, j’avais quatre ans j’étais heureux.
Certains vous diront que la vraie explication vient de plus loin en 1931, la 350 Automoto sur une bosse mal négociée par mon ailleul, envoya valdinguer ma grand-mère …….enceinte de mon père. Mais ça c’est des histoires anciennes.
A treize ans je troquais Pif Gadjet pour Moto Journal. Cinq longues années où les poster d’Apietto cotoyaient ceux de Read et Bourgeois. Jusqu’à la majorité et la 125 Tobec de 1956, don d’un voisin plus compréhensif que mon paternel. Le bac me fit accéder au 125 Honda S3 …bracelets et calles pieds arrière. Une priorité oubliée par une 4L m’engagea sur le desmo chiné en concentres, c’était un 350 gris pailleté, c’était la puissance, j’étais toujours heureux.
S’en suivirent un flat BM pour balader les copines, un 500 Guzzi pour chatouiller les 4 pots, un retour chez Ducat avec le 750 sport de mes rèves (qui se repose au fond de mon garage ) pour bouffer les 4 en 1 qui s’éclataient ça et là.
Puis l’incursion chez les trails avec un 600 KLR pour valider le concept… que je transformais en 91 avec un 650 elef suivi par un ie GT, un GC EDF repeint en lucky.
Et puis en 2006, STOP ! après deux gamelles légères, le rythme ne cessant d’augmenter, retour aux sources : mono Pégaso, souple et fidèle et surtout 165 Kg, loin de la rigueur Cagiva mais enfin pouvoir rouler à 90 et retrouver un rayon de braquage décent.
L’appel du desmo revint deux ans plus tard par le 350 elef (afon afon afon), que remplace le 750, monofaro tous deux. Montage de T63 pour dérouler, entre autres, les pistes Haut Alpines.
Pas trop téméraire, un brin râleur, gros ronfleur, un poil bricolo, aime le bon pinard, déteste le grand vin, aime ce forum.... parce qu’au moins vous êtes obligés de lire mes conneries ... et toc !
Certains vous diront que la vraie explication vient de plus loin en 1931, la 350 Automoto sur une bosse mal négociée par mon ailleul, envoya valdinguer ma grand-mère …….enceinte de mon père. Mais ça c’est des histoires anciennes.
A treize ans je troquais Pif Gadjet pour Moto Journal. Cinq longues années où les poster d’Apietto cotoyaient ceux de Read et Bourgeois. Jusqu’à la majorité et la 125 Tobec de 1956, don d’un voisin plus compréhensif que mon paternel. Le bac me fit accéder au 125 Honda S3 …bracelets et calles pieds arrière. Une priorité oubliée par une 4L m’engagea sur le desmo chiné en concentres, c’était un 350 gris pailleté, c’était la puissance, j’étais toujours heureux.
S’en suivirent un flat BM pour balader les copines, un 500 Guzzi pour chatouiller les 4 pots, un retour chez Ducat avec le 750 sport de mes rèves (qui se repose au fond de mon garage ) pour bouffer les 4 en 1 qui s’éclataient ça et là.
Puis l’incursion chez les trails avec un 600 KLR pour valider le concept… que je transformais en 91 avec un 650 elef suivi par un ie GT, un GC EDF repeint en lucky.
Et puis en 2006, STOP ! après deux gamelles légères, le rythme ne cessant d’augmenter, retour aux sources : mono Pégaso, souple et fidèle et surtout 165 Kg, loin de la rigueur Cagiva mais enfin pouvoir rouler à 90 et retrouver un rayon de braquage décent.
L’appel du desmo revint deux ans plus tard par le 350 elef (afon afon afon), que remplace le 750, monofaro tous deux. Montage de T63 pour dérouler, entre autres, les pistes Haut Alpines.
Pas trop téméraire, un brin râleur, gros ronfleur, un poil bricolo, aime le bon pinard, déteste le grand vin, aime ce forum.... parce qu’au moins vous êtes obligés de lire mes conneries ... et toc !