Consultation FFVE

[gege]

Une grande consultation par la FFVE à été lancée elle concerne les vehicules anciens (plus de 30 ans) et les "Youngtimer" plus de 20 ans, donc nos Elefants rentrent dans ces deux categories, je pense que ça vaut le coup de l'alimenter, voilà le lien http://ffve.org/Enquete_2017

[Phil the bike]

Bonne idée
Questionnaire rempli.

[sergio desmo]

À voté [emoji106]


Envoyé de mon iPad en utilisant Tapatalk

[GClover]

+1

[joel 11]

Fait... aussi... [emoji6]

[Baron]

Bonsoir, c'est fait.

[joce-doubs]

fait

[hugiva]

répondu aussi.

[Phil31]

Ok pour moi .

[le picvert]

Fait

[Charly]

+1

[Elefafzéro]

"mitou"!

[fifi81]

fait à l'instant

[desmophil]

Salut a tous.

Ne serait-ce pas un truc a double tranchant !
Pour définir des catégories liberticides :
Celui qui ne roulera plus la nuit.
Celui qui ne roulera plus la semaine.
Celui qui ne roulera plus dans les grandes villes.
Etc.etc..

[Elefafzéro]

Objectivement,

la FFVE est celle qui permet à de nombreux propriétaires de véhicules anciens
qui n'ont plus de CG de circuler avec des CG de collection.

Son but est probablement d'anticiper sur le fait que
de nombreux véhicules diesel arrivent sur le créneau des plus de trente ans,
en étant concernés par les mesures annoncées de restriction de circulation.

J'ai rappelé dans cette consultation deux points qui sont à l'évidence parmi les plus saillants.

La production de nombreux véhicules électriques ne représente pas une solution idéale
si on se garde d'être aveuglés
et si on prend en compte la pollution en équivalent carbone
de la fabrication des batteries en particulier,
et d'autre part la nécessité de produire beaucoup plus d'électricité
pour pallier aux besoins d'une nouvelle consommation,
s'il faut assurer par ce moyen les mêmes fonctionnalités de transport
que celles actuellement mises en œuvre grâce aux moteurs thermiques
dans l'ensemble de la société
( dite, rappelons-le : société des transports,
et ce ne sont pas les transports amoureux ).

À défaut de champs d'éoliennes depuis les Corbières jusqu'à la façade océanique offshore,
et ailleurs,
ou de champs solaires en zone subtropicale à l'échelle planétaire,
on risque de manquer de jus,
si on tient les engagements à sortir du nucléaire,
et on va alterner vers d'autres formes de pollutions.

Ce surtout alors que la plupart des particules fines qui nous rendent malades
ne viennent pas seulement des moteurs diesels,
mais abondamment de l'usure des pneus de TOUS les véhicules, et des goudrons.

Deuxième point :

les pouvoirs publics ne prennent absolument pas en compte le fait que les deux-roues motorisés
(qui n'ont que deux roues et usent moins le goudron )
permettent une fluidité et circulent moins longtemps,
donc ont des moteurs qui tournent moins longtemps,
consomment de ce fait beaucoup moins,
et ipso facto, polluent beaucoup moins,
même s'ils ont plus de dix ans.

Les restrictions de circulation ne devraient donc pas les concerner
au même titre que les véhicules qui s'amoncellent dans des encombrements routiers et urbains quotidiennement,

mais au contraire on devrait prévoir de faciliter leurs conditions de circulation de manière spécifique
comme par exemple l'autorisation plutôt que l'interdiction de la remontée des files,
ou bien la circulation autorisée dans les couloirs de bus
pour les 2RM au même titre que celle, expérimentée dans certains endroits, des véhicules pratiquant le co-voiturage.

Quels que soient les risques de voir des technocrates et autres décideurs lobbisés
sous-informés et ignorants des spécificités
prendre des mesures inadaptées et discriminatoires autant que coercitives,

ce qu'il faut c'est amplifier la transmission des informations nécessaires
pour permettre aux novices de mieux connaître de manière globale les réalités
qui sont celles de la plupart des citoyens obligés de se déplacer pour assurer leur fonction au sein de la société,
et participer à l'effort de production comme à celui de consommation,

pour ne pas se fourvoyer collectivement dans des choix qui seront néfastes à terme,
comme l'ont fait ceux qui nous ont précédés sur l'autoroute de la croissance depuis un siècle.

Et si c'est en participant à des consultations citoyennes
à l'initiative du monde associatif,
autant le faire pour exister dans ce champ de communication.